...Les vagues prenaient un peu de hauteur, elles me faisaient penser à un ballet de femmes vêtues de robes blanches, à froufrou, qui dansaient sur la musique de Strauss : les valses de Vienne. Tantôt, elles se baissaient, tantôt elles remontaient avec une souplesse gracieuse et parfaite.
En les regardant, ma tête tournait, emportée par leur danse. Je me suis assise, dans le sable, avec mes vêtements encore mouillés, et mes cheveux en pagaille, oubliant complètement le pauvre Laurent dans son coin....
Amina Boisvert (Extrait de: L'amour et le sacrifice de maman Zahra)
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